Bien entendu, la mort, ses ferments et ses corollaires ne doit jamais être abordée en consultation. JA.MAIS ! Plus qu'une aberration, c'est une abomination.
Ce qui ne veut pas dire qu'elle n'est pas visible dans certains tirages.
Pour illustrer mon propos j'ai choisi deux exemples :
• le premier, un fait divers du 19e siècle, évoque la tentative de meurtre de l'écrivaine Louise Colet sur la personne d'Alphonse Karr, rédacteur satyrique du journal "Les Guêpes", qui avait commis un article dans lequel il sous-entendait qu'elle attendait un enfant de son amant durant qu'elle était mariée à un autre.
Elle lui planta un couteau dans le dos en guise de réponse, heureusement sans gravité.
Pour relater cet événement avec les cartes, rien de mieux qu'une D♥ pour représenter à la fois la femme de lettres et l'épouse enceinte. Je l'ai fait suivre par un 5♠, puisque le pique est une enseigne issue de l'épée du Tarot, tandis que le 5 est un nombre destructeur car il "détruit la matérialité du nombre 4 qui le précède".
C'est donc la carte qui convient pour frapper et blesser.
Le 7♠ est la préméditation du geste, puisque cette carte "prépare", mais c'est aussi le journaliste car elle "enquête" également.
Le 8♠, ici, est la carte de la médisance et de la mauvaise réputation.
En associant les cartes à la suite, puis 1/4, 1/3, 2/8, 2/3, 5/7, 5/8, etc. tout s'articule, s'anime et relate ce triste fait divers.
• le second emprunte à la fiction avec une série récente intitulée : "Only murders in the building".
Je ne vous la résume pas pour ne pas vous la dévoiler ; le titre est suffisant, cependant.
Il peut se traduire ainsi :
Des individus lambda qui dissimulent leur véritable identité [V♠] commettent des crimes [9♠] dans l'immeuble où ils résident [10♥].
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